Les 5 raisons pourquoi les femmes perdent le goût de faire l’amour avec leur conjoint.
Je suis tombé sur bijou d’information qui pourrait aider les hommes dans leur relations amoureuses.
En tant qu’homme, le sexe est une sensations tellement agréable, un moyen de communiquer notre amour et en retour, c’est un témoignage d’amour de la part de nos conjointes. Enfin, de ce qu’on peut en assumer a priori. Alors il est difficile de comprendre comment elles arrivent à un point où nous faire l’amour leurs est désagréable. C’est comme si elles nous disaient directement qu’elles ne nous aimaient plus. On le sent dans le fond de notre être et cela nous brise de savoir que notre conjointe ne nous aime plus. Or, ce qui se cache derrière ce manque d’intérêt est vraiment différent de ce à quoi on peut s’attendre. En sachant ces différentes raisons, on peut changer le cours de la décente aux enfers d’une relation amoureuse sans sexe, et de renouer avec le plaisir de faire l’amour ensemble.
Alors, de la part des femmes, voici les 5 raisons pourquoi elles perdent le goût de faire l’amour avec leur conjoint.
1-J’ai l’impression de donner une partie de moi-même que je n’ai même pas à donner en premier lieu.
“Chaque fois que j’ai des relations sexuelles, j’ai l’impression de donner une autre partie de moi-même que je n’ai même pas à donner. J’ai l’impression de devenir un objet, et que mon mari me prend quelque chose qui n’est même pas là pour être donné en premier lieu.
En fait c’est parce que je suis déconnectée de moi-même. J’ai une relation malsaine avec moi-même, qui est une déconnexion, ce que j’appelle être “malheureuse”. Je ne suis pas LÀ. Je ne suis pas connectées à moi-même, alors je n’ai rien à donner. Et de cet endroit de déconnexion, de cet endroit de malheur, je suis épuisée et vide parce que je mets tout et tout le monde avant moi. Je n’ai aucune considération pour moi-même. Il n’y a aucune réflexion sur ce que je dois faire pour prendre soin de moi afin d’être pleine et entière, et d’avoir beaucoup à donner à mon mari, et beaucoup à donner à mes enfants et à d’autres relations. Je sais que je suis la reine de me mettre en dernier, mais ça ne m’empêche pas d’être égoïstes et tellement centrée sur moi-même. Mais cet égoïsme s’exprime en me mettant en dernier, et alors je suis épuisées et vides. Je me sens alors en droit de pas vouloirs parce que je n’ai rien à donner en premier lieu.”
Si votre conjointe se donne beaucoup, se sent vide ou épuisée, approchez-là de manière à ce que votre envie de lui faire l’amour soit un cadeau pour elle, pour la reconnaître, un plaisir que vous lui offrez afin qu’elle puisse l’anticiper et en profiter. C’est un moment pour elle, mais n’oubliez pas de livrer la marchandise, c’est son plaisir qui est primordial.
2-Je m’auto-punis (auto-flagellation)
“Je ne mérite rien qui puisse me faire sentir bien parce que je me sens si mal à l’intérieur. Je suis tellement insécure. Je me critique constamment. Je me compare sans cesse aux autres femmes dans mon entourage et à quoi leur vie ressemble. Je dénigre mon apparence physique et je m’abat sur moi-même. Mais je mets un masque et je prétends que ce n’est pas du tout mon cas. J’étais très douée pour ça. Mais si je veux vraiment être honnêtes avec moi-même et que je révèle la vérité, je vois à quel point je me sens mal. Alors je me dit que je ne mérite pas ce qui pourrait me faire du bien. “
Le sexe est conçu pour être une expérience agréable. C’est pourquoi Dieu nous a faits comme nous sommes et avec les organes que nous avons, et que nous sommes faits pour en profiter, tant les femmes que les hommes. Donc, la raison pour laquelle elles n’en profite pas est qu’elles se sont fermées, se sentent indigne et pense qu’elles ne le méritent pas, donc s’auto-punissent en se refusant ce plaisir.
Il est difficile pour l’homme de pouvoir changer quoi que ce soit dans cette situation. Je crois qu’il serait bon de complimenter sa conjointe, de la valoriser, et lui rappeler à quel point vous la trouver belle et attirante et qu’elle aussi a le droit au plaisir.
3-Je ne veux pas perdre le contrôle
“J’ai besoin d’avoir le contrôle. Une fois mariée et plus vieille, je suis devenue rigide. J’ai parfois peur de la vie alors j’essaie de saisir et de m’accrocher très, très fermement. J’essaie de tout contrôler dans ma vie. Le sexe est une relation et un contexte dans ma vie qui menace ce sentiment de contrôle et je sens que je vais perdre le contrôle. Je sais, si je veux m’amuser et profiter du sexe, je dois me détendre un peu, mais je ne veux pas perdre le contrôle. Je sens que je perds la spontanéité et le plaisir d’explorer, cette exploration que j’avais quand j’étais plus jeunes avec le sexe. Et donc je ne veux pas relâcher les rênes et réellement profiter du sexe parce que j’ai peur de perdre le contrôle.”
Habituellement, ce sont des choses qu’elles répriment, qu’elles nient, qu’elles rendent inconscientes, mais elles doivent secouer et examiner pour pouvoir réellement les changer. Je dirais qu’une dose d’imprévisibilité contrôlée serait de mise dans cette situation. Invitez-la à un spectacle d’humour, dans un manège, ou un spectacle de musique, une escape room. Quelque chose qui pourrait faire relever un sentiment de jeunesse et d’imprévu. Ne lui donner aucunement les rênes de cet événement, c’est vous qui devez garder le contrôle et les décisions. Invitez-la à lâcher son fou.
4-Je n’ai jamais vraiment apprécié le sexe, depuis le début.
“D’emblée, je n’ai jamais apprécié le sexe. J’ai fait l’amour pour les mauvaises raisons: pour manipuler les hommes ou pour me sentir désirée, acceptée et aimée. Sinon c’était purement pour l’homme. Je devais faire cela pour lui, à ce moment, mais je ne me suis jamais posé la question à savoir qu’est-ce que moi j’aimais. Je faisais un spectacle, pensant que c’était comme ça que les hommes appréciaient les femmes, que je dois être comme les filles dans les films pornos. Mais je n’étais pas sincère avec moi-même et je n’ai jamais appris ce que j’aimais vraiment. Je ne connaissais pas mon corps, je ne savais pas ce que j’aimais réellement, ni ce que je n’aimais pas. Je n’ai jamais pris le temps d’explorer car j’avais trop peur de le faire, puisque j’en faisait un trop gros plat. Il fallait que je sois remplie d’émotion, il fallait que l’homme m’allume, qu’il y ait des préliminaires, que je jouisse, que ça dure longtemps, que ce soit lui qui fasse tout le travail pour me mettre dans l’ambiance et que je devait apprécier mon expérience. Mais tout ça faisait obstacle à ma propre exploration et je n’avais aucune agence, je laissais tout reposer sur lui. Ultimement je me suis fermée au sexe et c’est maintenant terminé.”
C’est vraiment contre-intuitif pour les hommes de comprendre ce point car il n’y a rien de plus attirant que de voir une femme être elle-même, dans ses préférences et dans ses désir. Alors comment une femme pourrait agir autrement?
Le sexe est une expérience physique, les hommes le comprennent bien, mais pas nécessairement pour les femmes. N’ayant pas fait l’exploration de leur propre plaisirs elles se fient sur les mythes que la société fournie à travers les livres, les magazines, la psycho-pop, les amies.
Pendant le sexe, ou juste avant, demandez-lui si elle aime ça, s’il y a des choses qu’elle aimerait explorer. Si elle jouit ou même si elle en est simplement capable. Si elle est capable de le décrire. Faites une session spéciale, de sorte que son plaisir en soit le but. Faites lui comprendre qu’elle n’as aucunement besoin de faire un spectacle pour vous, mais que ce soit plutôt un moment pour soulever des plaisirs qui, chez elle, étaient en dormance.
5-J’ai tellement affaibli mon conjoint que je le trouve maintenant repoussant
Ici, c’est la raison prédominante pourquoi les femmes perdent l’intérêt sexuel avec leur conjoint, mais c’est aussi la raison la plus insidieuse, car elle s’incruste lentement, de façon voilée. Chaque commentaire étant une petite brique dans la relation, et un jour on se rend compte qu’il y a un grand mur infranchissable qui sépare les conjoints.
Je castrais mon conjoint, je le remontrait quand il me faisait honte, je le rendait fautif, je critiquais tout ce qu’ils faisait. Je lui envoyais constamment le message qu’il n’était pas assez bon. J’essayais de le changer. Je le traitais comme un enfant.
En fait, je lui enlevais le sentiment d’être un homme, je l’affaiblissait. Il est devenu une simple coquille d’homme. Et c’est à cause de cela qu’il ne m’attire plus. Il est maintenant répulsif pour moi. Je me rends compte que c’est ma propre faute.
C’est parce que je me répugnait moi-même. La cruauté et la méchanceté que je déployait contre lui provenait du fait que je me détestait. Mais j’étais incapable de voir ce qui se passait. Je pensais que c’était mon éducation, mon enfance, ma famille qui étaient responsable de cette haine envers moi-même. Mais en fait c’est a cause de mes choix et de mes décisions prise dans ma vie. Je suis entrée en relation n’étant pas d’emblée une bonne femme. Je ne me sentais pas bien dans ma peau, alors je m’en prenais à mon conjoint parce que je pensais avoir raison, et qu’il était la raison pourquoi je me sentais mal dans ma peau. Je projetais cette haine sur mon conjoint, l’affaiblissant et puis je n’étais plus attiré par lui.”
C’est tout un témoignage rempli d’introspection qui mets en lumière la raison pourquoi elles ne veulent plus faire l’amour avec vous. En sommes, ce n’est pas de votre faute. Il faut pas le prendre personnel. Lorsque votre conjointe vous fait des remontrances, c’est plus souvent qu’autrement de la projection. Elle projète son insécurité, son dégoût d’elle-même sur vous. Et plus elle le fait, plus elle se dégoûte elle-même, enclenchant ainsi un cercle vicieux.
La voie à suivre pour un homme dans cette situation est de tenter du mieux qu’il peut de conserver son amour-propre. Ces remontrances et ces invectives proviennent de quelqu’un qui ne s’aime pas, alors faites d’une pierre deux coups. Faites lui savoir qu’elle est mieux que ça. Demandez-lui ou se cache la femme douce et chaleureuse que vous connaissiez. Non seulement vous revirer la situation en faisant en sorte que le problème à régler dans l’oeuf soit sa haine d’elle-même, mais vous conserverez votre amour propre en paraissant le plus grand des deux, et ainsi ne pas être affaiblis à ses yeux.
Les citations sont une adaptation de ce vidéo.