Naviguer a travers le champs de mine du statut sexuel
C’est l’année 2005.
Je suis à un bar, accompagnée d’une belle femme.
Soudainement, une affreuse s’approche.
“Hey” me dit-elle, m’adressant par mon nom.
N’étant pas accoutumé à des laiderons qui s’approche de mon throne, je suis confus.
“Je te connais?” lui demandais-je.
“Oui, on s’est déjà rencontré”, me dit-elle “Tu te tenais avec mon amie Jess Rozen. Tu lui avait acheter un verre et tu avais resté avec nous.”
Jess Rozen était une fille laide avec une personnalité pas très attachante qui était dans mes classes. Quelques semaines avant, elle m’avait acheté un verre pour m’inciter à venir parler avec ses amis laids. C’était un mardi soir et le bar était vide, alors j’ai accepté.
J’ai grincé des dents.
“Non, non” lui dis-je. “C’est elle qui m’as acheté un verre. Il y a une différence.”
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C’est l’année 2003.
Je suis a un party.
On m’introduit à Stéphanie.
Je trouve Stéphanie très attirante.
Un ami commun, me voyant attiré par elle, m’amène dans un coin pour m’informer qu’elle a un petit ami depuis 5 ans.
Étant un homme d’honneur et de décence, je décide que je ne vais pas m’essayer avec Stéphanie, et je me recentre vers un autre champs fertile (soit une de ses amies).
Stéphanie, par contre, ne possédait pas le même honneur et la même décence. En premier j’interprétais ses interruptions fréquentes comme un signe de coupe-graine (cockblocking), mais lorsqu’elle commenca à toucher mes biceps, aposer sa tête sur mon épaule, et de coller sa jambe contre la mienne, j’ai compris.
j’ai accpeté ses avances (elle était vraiment canon), mais, en partie à cause de mes valeurs, une partie a cause de la logistique, on a pas pu baiser.
Le journée suivante je parle avec mon amie Val.
“Ton amie Stéphanie est vraiment bien” lui dis-je.
“Oui”, me dit Val. “Tu te collais vraiment sur elle hier soir.”
“Quoi???” dis-je, “Vraiment pas. C’est elle qui me collait”
Val rit. “Ouais, bien sûr. Elle a un petit ami de longue date.”
Elle le dit avec un air de finalité, comme si c’était une preuve irréfutable. Je mord ma langue.
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C’est l’année 2008.
Je suis a un party de fraternité pour un gars dans mon équipe de soft-ball.
Incapable de résister a mon charme masculin, une petite cute nommée Lisa me pousse sur le mur et commence à m’embrasser.
Le jour suivant je parle a Stacey, une amie de Lisa.
“Avez-vous eu du fun hier soir?” me demande-t-elle.
“Ouais” lui dis-je.
“J’imagine.” me dit-elle. “Je t’ai vu la pousser sur le mur et l’embrasser.”
“Non” dis-je avec un ton entre la colère et désagrément, “C’est Lisa qui ma pousser sur le mur”
“Peu importe” dit Stacey.
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C’est l’année 2010
Je baise avec Katie. En plein milieu de nos ébats sexuels, elle me murmure a l’oreille “Tu as la queue parfaite.”
Après quelques hauts et bas de couple, je la laisse sans cérémonie en ignorant ses textos.
On se rencontre quelques semaines plus tard dans un party.
Je taquine une amie de Katie et elle réplique, ” Ben oui, mais ta un petit pénis”
Les filles au party ricanent. Les jokes de petit pénis est le zénith du sarcasme (wit) féminin.
Après avoir supprimé la bombe nucléaire de colère qui se produisis dans mon cerveau, je me regroupe et je répond:
“Eh bien, n’importe quoi serait trop petit comparé à la caverne qu’est son vagin”
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Les filles mentent.
Les filles vont mentir spécialement pour protéger leur statut ou celui de leurs amies.
Rarement un mensonge dans le marché sexuel des filles sera pour votre bénéfice, il sera beaucoup plus pour votre détriment.
Est-ce que les filles croient en la réalité de leurs mensonges? J’en ai aucune idée.
Prendre note par contre que lorsqu’une fille ment, vous aller toujours être recadré comme étant le pourchasseur, non le pourchassé. Pas le rejeteur, mais le rejeté. L’indésiré, pas le désiré.
Garder en tête que le mensonge qui remonte le statut d’une fille n’est pas aussi évident, comme la déclaration du petit pénis.
Ils vont plutôt être insidieux, croc en jambe.
Ils contiennent un grain de reniement plausible.
Ils concernent des détails si petits que de corriger le mensonge vous mets en situation de pitié.
Un simple changement de ce que vous avez dit et soudainement vous ne passer plus le test.
Un retournement de qui a fait quoi (i.e. dire qu’elle n’as pas répondu à vos textos alors que c’est le contraire)
L’omission d’une importante qualité qui a fait de vos actions contextuellement bien plus alpha.
C’est dans les DÉTAILS qu’est la différence entre un gars cool et admirable et un quémandeur béta.
Les DÉTAILS comptent. Pour beaucoup. Les filles le savent, et c’est dans cette arène qu’elles mènent leurs combats.
Quoi faire alors?
Et bien, les vrais séducteurs ont probablement remarqué que j’ai mal répondu à tous sauf le quatrième exemple.
Lorsque confronté à un mensonge insidieux, ne soyez pas défensifs. Le reniement vous faits paraitre coupable. Vous ne faites que faire une vollée sur un retour de service.
Vous ne pouvez pas non plus laisser ce mensonge filer.
J’ai trouvé une réponse passe-partout lorsque une fille essaye de passer un mensonge protégeant son statut à votre détriment:
“Ouais…quelque chose du genre”
Vous le dites de manière à ce que les gens sentent que vous savez, de façon privé, la vraie vérité, mais que vous vous en foutez, donc pas la peine de le révéler. Les mots sont voilé d’un certain sarcasme, mais pas trop pour évoquer la défensive.
Et puis le sujet est changé sur une des ignorance ou du manque d’expertise du menteur.
Le menteur est innocemment mis a l’écart.
Le séducteurs peut inopinément continuer sa chasse.
[Edit: je rajoute un extrait d’un des commentaire de la part de BuenaVista car il est très pertinent]
Mais sous la règle que les femmes attaques avec le contraire de ce qu’elle pensesnt secrètement, ou désir (l’exemple de Katie dans l’article), je peux vous dire ceci: deux ans après mon divorce, je devais aller chercher les enfants et je devais aller à l’étage pour aller chercher un d’entre eux. Il y avait une photo pleine grosseur de moi à poil sur sa commode. Une photo de moi lors d’une somptueuse soirée qu’on avait passé dans un château Français. Elles vous accusent simplement de ne pas avoir ce qu’elles ne pourront plus jamais avoir.