Une Alliance Insoupçonnée (3eme partie)
Hypothèses
L’homosexualité serait un phénomène génétique. On ne pourra jamais l’éradiquer totalement. Elle est une sorte de malformation génétique[1] où le gêne de l’empathie est plus développé que la normale.
Ceci devrait faire réfléchir toutes personnes croyant à la psychologie évolutionniste. On ne peut nier que l’empathie, tout comme la soumission, peuvent être des fruits de l’altruisme réciproque et des hiérarchies de dominance , celles-ci étant le résultat de la sélection naturelle. Puisque des malformations génétiques existent, une malformation d’empathie pourrait exister. Celle-ci pourrait s’appeler l’androphilie. L’amour des hommes.
En fait, on pourrait dire que l’androphilie est le miroir de l’amour de Dieu. On se rappelle que Dieu a formé l’homme en premier, à son image, mais aussi que le premier des Dix commandements est d’adorer Dieu plus que tout. Il n’est donc pas surprenant que certains hommes aiment d’autres hommes. D’ailleurs, il ne serait pas surprenant de penser que ce comportement pourrait être la raison des monastères ou de la vocation de prêtre catholique, et qu’il ait été, chez les Romains et les Grecs, le véhicule de statut social, de culture et d’intelligence. Mon hypothèse est que c’est grâce cette « mutation génétique » que la religion chrétienne a pu façonner la civilisation occidentale et en faire d’elle une puissante expression économique, spirituelle et esthétique de l’humanité à travers la prêtrise et les lois du mariage.
Il est possible que je sois un peu naïf de croire que les hommes homosexuels sont en général, plus intelligents, plus empathique, mais aussi qu’ils démontrent des qualités de mâle alpha plus prononcé que les hommes hétérosexuels, ce qui les rendrait plus attirants aux yeux des femmes.
Premièrement, ils ne peuvent jamais être déphasés par la sexualité féminine. Puisqu’ils ne sont pas attirés par elles, c’est comme si c’étaient des hommes hétérosexuels ayant un choix infini de femme à leur disposition. Ceci registre tout droit dans le cerveau reptilien de la femme comme étant un homme d’immense valeur sexuelle.
Deuxièmement, ils sont probablement plus audacieux puisqu’ils ont dû vaincre leur répression sexuelle. Il n’est pas surprenant de voir des homosexuels gagner l’attention des gens et de se retrouver dans des positions sociales dominantes ; on a qu’à penser à Milo Yannopoulus, Peter Thiel ou Leonard de Vinci. Les femmes doivent donc être extrêmement attirées sexuellement par un homme homosexuel. On pourrait poser la question aux femmes si elles sont attirées, bien qu’on ne peut pas leur faire confiance à ce sujet.
On pourrait s’arrêter là, mais il y a un autre domaine où les homosexuels dominent de façon évidente. Ce sont eux qui embellissent les femmes à travers le secteur de la beauté et de la mode. Alors, non seulement ils dominent les hommes de par leur audace, mais ils les dominent aussi sexuellement par l’entremise de la beauté féminine. J’imagine que les homosexuels aussi voudraient que les hommes soient attirés par eux, mais ils doivent souvent être confrontés à un refus, tout comme les femmes doivent être confrontée au refus des gays.
L’attirance sexuelle se trouve donc à être une sorte de Triangle des Bermudes, où l’être désiré ne l’est pas réciproquement. Une insatisfaction chronique pour chacun des partis. On a surement trouvé une solution à ce problème.
[1] Malformation est utilisée de façon métaphorique dans ce texte, pour ceux qui ne l’avait pas compris