La plus Grande et la plus Belle Comédie de l'Histoire

La plus Grande et la plus Belle Comédie de l’Histoire (Acte II)

Pendant des années, l’aristocrate s’amusa, joua et profita de ses talents, accumulant toujours de plus en plus de richesse. Il devint immensément populaire malgré certaines vulgarité qu’on lui pardonna. Malgré son narcissisme ostentatoire (celui qui le permet d’être un négociateur hors pair) personne ne semblait le haïr. il conserva une bonhomie et une générosité qui le démarquait de ses pairs. Un parcours presque trop parfait, sans embûche.

Mais un jour, il descendit des escalier roulants.

En cette journée fatidique, il prit des position politiques forte, ce qui lui était inhabituel. Évoquant des idées tout a fait saugrenues de sa part. On trouva certains de ses propos déplacés, lui attribuant un manque de jugement, de réflexion et d’expérience.

De son côté, il restait suffisant à lui-même, trop même. Dégageant ainsi une telle certitude qu’elle inspirait confiance dans la plèbe. L’élite puissante, nébuluse et indétrônable commençait à se sentir menacée. Celle-ci commença à le ridiculiser, ensuite le calomnier, pour finalement le déclarer ennemi #1. Mais ennemi de qui? De la population? Ou de l’élite? La nébulosité devait être conservée pour convaincre la plèbe.

Contre toute attente, il gagna l’assentiment du public. Une catastrophe pour le pouvoir établi. Ce dernier s’activa immédiatement à le détruire politiquement, culturellement et personnellement. Tout les coups étaient permis par ceux qui détenaient déjà le pouvoir de la loi et de la culture, se permettant de les contourner à leur avantage. Une pente ardu se dressait contre l’aristocrate. On le soupçonna d’être un agent double, tentant de lui soutirer le mandat dûment reçu du publique avec ce prétexte. Ses soi-disants amis se retournèrent contre lui en le calomniant et salissant sa réputation.

Toutefois, il réussi a persévérer dans son mandat, tant bien que mal, constamment calomnié, embûches par dessus embûches. Bien qu’il détient le nombre record de tentative de destitution contre lui, toutes ont échouées.

Son impact dans le monde fut toutefois non-négligeable. En fait, aucun autre Président des États-Unis n’as reçu un accueil aussi marquant.

A la fin de son mandat, alors qu’il devait chercher l’assentiment du publique une deuxième fois, il était opposé par un adversaire ayant des attribut contraire à lui. Frêle, balbutiant, parfois décousu, subissant quelques allégations de corruption non fondées. Rien qui ne pouvait apparemment détrôner l’aristocrate.

Le jour de l’élection, sûr de lui-même, très tard dans la nuit, l’aristocrate se trouva subitement consterné d’avoir perdu l’adhésion du public!

Quelqu’un avait triché! Selon lui.

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