Les lois de l’attirance et le marché sexuel

Les gars et les filles sont différents

Certains le savent peut-être déjà mais, certaines personnes veulent nous convaincre qu’il n’y a pas de différences entre ce que les gars pensent du sexe et de l’amour, comparativement à ce que les femmes pensent. Aujourd’hui, même un handicapé mental serait capable de faire la différence. Les gars et les filles ont des idées biens différentes concernant le sexe, l’amour et l’engagement.

Les gars et les filles ont des motivations biologiques et évolutives bien différentes

Pendant que Dame Nature manipulent les mâles et les femelles à travers la reproduction sexuelle, elle le fait d’une manière à balancer la préservation de l’intégrité génétique (le rôle de la femelle), et de promouvoir la diversité génétique (le rôle du mâle). En d’autre mots, les femmes jouent le rôle de protectrice de nos bons gènes, alors que les hommes essaient d’améliorer le bassin de gènes disponible en démontrant des charactéristiques hautement désirables aux yeux femmes.

Cette différence cruciale veut tout simplement dire que même si les hommes et les femmes veulent la même chose – du sexe et des enfants – la façon d’y arriver est très différente pour chacun.

Les mâles cherchent à s’accoupler avec de nombreuses femelles pour la diversité génétique

Le terme technique ici est la “polygamie”. Ceci implique que l’impératif sexuel masculin souhaite améliorer les chances de créer une diversités d’enfants en s’accouplant avec le plus de femelles possibles. Ce désir est fréquemment blâmé par les féministes qui voient cet impératif comme étant un autre conditionnement social. Tout hommes expérimentés savent que l’on endure cette impulsion à un niveau viscéral.

Pour faciliter le tout, la nature a fait les hommes visuellement ancré dans leurs sexualité, et les encourage à être constamment à l’affût de nouvelle peau pour un accouplement potentiel.

Les femelles cherchent à s’accoupler avec le mâle le plus haut dans l’échelle, offrant à sa descendance les meilleurs gènes.

Le terme technique ici est “l’hypergamie”. L’impératif sexuel féminin encourage la femelle a s’allier avec l’homme au plus haut statut possible. Ce qui l’attire est donc ancrée contextuellement; ce qui veut dire, basé sur le statut et la position sociale comparativement au contexte social de la femme, non par l’apparence (bien que d’avoir une belle apparence peut aider la cause).

Ce sont de bonnes nouvelles! Ça veut juste dire que tu n’as pas à être extrêmement beau pour avoir la fille que tu veux, tu dois être aperçu dans un contexte qui t’avantage comme la richesse, la célébrité, le pouvoir ou la personnalité qui peuvent très bien remplacer le rôle de la beauté.

La masculinité attire la féminité, et vice versa

Au delà de l’apparence physique, les hommes tendent à être attirés sexuellement par des femmes démontrant des traits féminin désirables dans leurs comportements et leur présentation, incluant sa grâce et sa réceptivité; les femmes ont tendance à être attirées par les hommes démontrant des traits masculin désirables, tels que son courage, sa créativité, ou sa capacité a fournir ressources et protection.

Les tentatives d’attirer le sexe opposée en se comportant davantage comme eux ont des résultats assez frustrants.

Le pouvoir de l’attirance  féminine est basé sur l’apparence

Les hommes sont sexuellement attirés par la beauté d’une femme, notamment ses caractéristiques sexuelles secondaires et tierces.

En d’autres mots, les hommes préfèrent généralement des femmes qui ont de plus gros seins, des hanches prononcées, de beaux visages, des cheveux plus sains et une attitude plaisante.

Ce n’est pas juste du conditionnement social, comme certains voudraient nous faire croire. Ce sont des signes physiques indiquant l’état de santé général d’une femme et de son bagage génétique. Le moyen pour une femme de répondre à l’impératif sexuel d’un homme est de montrer son intégrité génétique.

 Le pouvoir de l’attirance masculine est basé sur le contexte.

Les femmes, quant à elles, ont tendances à être moins concernées par le bagage génétique d’un homme mais seraient plutôt concernées par la puissance de ses moyens à court terme pour la gestation de sa progéniture mais aussi pour plus tard. Ces démonstrations de richesses, de position sociale, de pouvoir, de force, de célébrité et d’importance sont tous des facteurs qui augmentent le pouvoir d’attirance du mâle.

Les femmes sont donc plus intéressées par ce que l’homme fait que par ce qu’il peut bien être, en relation avec son contexte social, plutôt que par sa beauté… Bien que d’être beau n’as jamais vraiment fait de mal a personne.

Le point culminant de l’attirance féminine survient assez tôt, pour faciliter la créations d’enfants, et décline avec le temps.

Imaginez l’attirance comme un compte de banque, chacun des sexe ayant son compte “d’attirance” avec lequel il peut attirer les membres du sexe opposés. Plus t’as “d’argent” dans ton compte, plus t’es attirants auprès du sexe opposé.

Les femmes héritent d’une somme imposante très tôt, dans les années les plus reproductives (16-25). Les femmes plus jeunes sont plus attirantes que les plus âgées, à moins qu’il y aies d’autres facteurs. Un homme recherche la meilleure intégrité génétique; la plus intact disponible. Les jeunes femmes offrent donc un meilleur choix sexuel, biologiquement parlant. Les jeunes femmes accouchent de bébés plus en santé. Mais après ses meilleures années reproductives, le compte de banque d’attirance naturelle de la femme se vide rapidement.

Les mâles commencent avec un statut insignifiant, mais l’accumule avec le temps.

Les hommes, au contraire, commencent avec des petits chèques de paye et épargne leur “capital” lentement, et s’appliquent à bonifier leur chèques avec le temps. Les hommes avec de l’argent, du pouvoir, un rang, de la force et tout autre caractéristiques sociales constructives sont plus attirants pour les femmes. Habituellement, ce genre de choses s’accumulent avec le temps en améliorant sa situation.

En d’autre mots, peu importe si un gars de 18 ans est beau, il ne sera pas considéré comme un partenaire sérieux par les femmes, tant qu’il n’aura pas prouvé sa valeur dans la société. Une fois qu’il est établi professionnellement, monétairement et au pris avec tout autres exigences du succès, il devrait remarquer son attirance s’accroître. La prévoyance reproductive des femmes cherche aussi à estimer le futur potentiel d’un homme.

Certaines femmes poursuivent une stratégie d’accouplement en cultivant un mâle prometteur jusqu’à ce qu’un meilleur se présente. D’autres attendent que des mâle se démarquent, et peuvent même le “voler” aux femmes de moindre statut à travers le pouvoir de leur sexualité.

L’endroit où les impératifs masculins et féminins se rencontrent est communément appelé le Marché Sexuel (MS)

Peu importe la culture, le langage ou la religion, les hommes et les femmes se sont toujours engagés dans des comportements d’accouplement  qui sont des conventions sociales à travers lesquels les mâles et femelles manifestent leurs grade génétique, avant le processus de sélection de partenaire.

Bien qu’il ne semble pas être très romantique d’imaginer ce processus comme un “marché”, il n’en demeure pas moins la meilleure métaphore représentant les gestes perceptibles de l’accouplement humain.

Les hommes vendent la “Masculinité” sur le marché, alors que les femmes vendent la “Féminité”. Ils doivent développer leur attirance, l’emballer et la présenter, pour ensuite négocier sur le marché afin de trouver un partenaire acceptable à long terme.

Bien que les caractéristiques de la beauté et de l’attirance changent de culture en culture, elles sont présentes et s’opèrent jours et nuit dans chaque culture humaine.  Même lorsque le sexe ne fait pas partie explicitement de l’équation sociale, le MS est toujours un facteur fondamental lors des interactions entre hommes et femmes. On ne peut pas l’éviter.

 

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