Divina Insidia, Le piège divin
Enfin le roman que je cherchais!
Combien de fois vous ai-je emmerdé à propos des illuminatis? Je sais, je suis chiant parfois. Mais, êtes-vous au courant de leurs modes d’opérations et leurs répercussions sur nos vies? Je n’ai peut-être pas été très clairs, ni très précis sur ces différents aspects.
Et bien, heureusement pour vous, je n’ai plus à vous emmerder avec ces propos, car Pascal Roussel nous a concocté un roman qui nous transporte en plein cœur de la bête. À l’écriture de ces lignes, le roman est en pourparler d’adaptation en film pour ceux qui préfère le 7eme art. Fini les articles journalistiques ou dénonciateurs. Nous voilà devant un roman dans lequel mes recherchent concordent. Pascal, après ses 10 années de recherches, prouve qu’il a fouillé le sujet de fond en comble et le roman dévoile même des aspects qui m’étaient jusque là inconnus.
Voilà donc une occasion en or pour vous familiariser avec les idées, les subterfuges et les gens qui ont une puissance incommensurable sur la nôtre. Vous serez captivé par l’intrigue d’un roman qui est un croisement entre le Code Da Vinci et Millénium, où le journalisme, l’Histoire, l’occulte et la haute finance se rencontrent. L’histoire est centrée sur Anne Stanford, écrivaine pigiste qui accepte une offre TRÈS lucrative d’écrire la biographie d’un Supérieur Inconnu prêt à dévoiler les plus grands secrets des gens les plus puissants du monde. Elle se retrouve bien malgré elle, à mettre sa famille en danger.
L’intérêt principal
Pour comprendre le roman, il faut absolument comprendre le mécanisme de l’argent afin de comprendre pourquoi la richesse semble se centraliser dans les mains de quelques personnes. Je nargue souvent mes « amis banquiers » sur Facebook afin de les cultiver sur la nature de l’industrie dans laquelle ils travaillent, alors qui de mieux placé que l’auteur lui-même, travaillant justement dans le secteur des risques Financiers à la Banque Européene d’Investissement! Bref, que ce soit dans un régime socialiste, communiste, capitaliste où autre, si les mécanismes de l’argent restent inchangés, on se retrouve inexorablement avec une centralisation de la richesse et conséquemment, du pouvoir. « C’est mathémathique » .
L’ironie dans tout ça, c’est que le mécanisme est très simple. Trop simple même. Il nous passe sous le nez à chaque paiement d’hypothèque et on croit que c’est ce qu’il y a de plus normal dans la vie. Nous sommes les maîtres de notre propre servitude. On passe pour un fou si l’on ose le dénoncer. Si mes amis banquiers voudraient dénoncer le stratagème à leurs supérieurs, ils seraient probablement ridiculisés :
– “Hey Boss, il me semble que les intérêts qu’on charge vont pousser nos clients à la faillite! “
-«Ben non voyons, ont les charge juste 3%, et ils font quand même 1,5% sur leur dépôts. Ça ne va pas pousser personne à tomber en faillites voyons! Qu’est-ce que tu dis là? »
ERREUR. Il est vrai qu’au court terme, les intérêts sur un emprunt ne causent pas obligatoirement la faillite. Mais comparez un prêt vs un dépôt de 10 000$ en 1694, date à laquelle la Banque d’Angleterre ouvrit ses portes.
Voyez-vous l’aberration? Un prêt de 10 000$ génère 128 Millions d’intérêts pour cette banque, alors que le remboursement d’intérêt sur un dépôt du même montant ne lui coûte que 1,2 millions. Vous me direz qu’un prêt de 10 000$ est remboursé sur un terme 5 ou 10 ans et qu’il ne génère pas autant de revenu. Détrompez-vous! La banque prête et reçoit de l’argent à tous les jours. Elle est en perpétuelle croissance.
Voyez ses répercussions dans l’Histoire :
L’hyper-inflation en Allemagne en 1923
La masse monétaire du dollar américain
En tant que simple citoyen, il nous est terriblement difficile de déterminer les montants en jeu car le subterfuge est étoffé. La situation n’est pas aussi limpide que l’exemple mentionné. On parlerait plus en réalité d’une banque centrale détenue par des intérêts privés, voire des familles, prêtant aux gouvernements des sommes colossales. Les garanties sur ces prêts sont nos biens et notre main d’œuvre à travers les impôts et les taxes. Il est donc normal de se plaindre de nos taxes trop élevées bien avant de se plaindre du petit tour de passe-passe des banques avec leur intérêt composé!
Vous voulez nous vaincre? Abolissez les prêts contre intérêts et ne créez plus d’argent. Les cycles économiques disparaîtront, la richesse ne se concentrera plus dans les mains de quelques « mega créanciers » comme moi et l’argent gagnera de la valeur avec le temps. Ce que vous lèguerez à vos enfants vaudra plus qu’au moment où vous l’avez gagné. C’est cela que je veux que vous expliquiez dans votre livre. — Supérieur Inconnu dans Divina Insidia
La spiritualité en otage.
Afin de conserver de telles richesses, le patrimoine cumulé est souvent préservé dans des familles. Les mariages sont plus souvent qu’autrement arrangés dans ces hautes sociétés et les héritiers doivent garder intact la tradition familiale d’accumuler leur opulente richesse au détriment des gens comme vous et moi, sans regret. Pour ce faire, Il faut qu’ils adoptent des valeurs très différentes de celles de la classe moyenne. C’est ici que l’on peut spéculer sur bien des tangentes. Pascal introduit la religion du Palladisme, étant la religion des franc-maçons des 31, 32, et 33 degrés dans laquelle on avoue vénérer Lucifer. Je n’étais pas au courant de cet aspect auparavant. De mon côté, mes recherches m’avait dirigée sur la Théosophie qui, par ses œuvres, essaye de faire revivre les anciennes religions et distraire les peuples par le New Age, mais avoue aussi vénérer Lucifer. On peut penser au Lucis Trust, originalement nommé « Lucifer Trust » fondée par Alice Bailey, adepte de la Théosophie. On peut aussi tomber sur les Protocoles des Sages de Sion, qui sont les principes pour contrôler la population afin d’avoir le contrôle total lors de l’arrivée du Messie des Juifs. Pascal en fait mention dans son livre.
Grosso modo, Ils vénèrent Lucifer car c’est lui qui a tenté « d’ouvrir » les yeux à Adam et Ève en leur donnant le fruit de la sagesse du bien et du mal et par conséquent, les libérer du joug d’un Dieu méprisant qui les gardaient dans l’ignorance. Lucifer, Illuminatis, tous des mots porteur de « lumière ».
Pascal, toutefois, va encore plus loin et c’est ce que j’apprécie de son œuvre, il sème un concept bien plus vivant encore— l’idée que ce sont des entités spirituelles malveillantes qui cherchent à prendre le contrôle spirituel de ces familles afin d’avoir le pouvoir physique sur la terre. Je n’avais jamais pris le temps d’apercevoir les enjeux de cet angle dans mes recherches.
L’horreur manquante.
Avec cette optique, je me serais attendu toutefois à un peu plus de mordant dans les menaces survolant l’aventure d’Anne. Elle se fait suivre par un tueur à gage sans merci, mais nous n’avons pas grand-chose à se mettre sous la dent concernant la violence avec laquelle ses gens peuvent fonctionner. Évidement, si Pascal avait développé cet aspect dans son livre, son œuvre se serait alourdie inutilement.
Ce sera alors dans les lignes suivantes que vous pourrez comprendre la gravité des méthodes utilisées pour arriver à leurs fins.
Ce que j’ai pus trouvé comme information est très troublant. Tellement troublant qu’il est difficile de croire que de tels gestes puissent exister. Laissez-moi brièvement vous lister certaines une des journaux pour vous démontrer que ce ne sont pas des inventions de ma part :
-Les prêtres catholiques pédophiles
–Jimmy Saville et son cercle Luciférien de molestation d’enfant
–Jerry Sandusky, coach de Football faisant parti d’un cartel de pédophilie
-les nombreux enfants portés disparus à chaque année.
-Etc…
Comprenez le bien, les personnes haut placées vénèrent Lucifer, leurs rituels et leurs prière sont donc sataniques à la base. Ceux-ci impliquent particulièrement le sexe et le sang, et encore mieux si des enfants sont inclus, pour la pureté de leur âme. Ce qui est troublant, c’est que ce genre de rituels sont utilisés principalement pour créer une peur si grande chez les participants qu’ils en sont brisé psychologiquement jusqu’à la fin de leur vie. Le rituel peut causer une sensation de pouvoir absolu pour celui étant le maître d’œuvre, la victime ou les participants, eux, tombent dans une telle psychose que leur personnalité se dissocie, générant une nouvelle identité complètement séparée de l’originale, et qui peut être convoquée à la guise de ceux qui en savent les mots secrets. Mais pour tous, ces rituels deviennent le lien qui les unis par le secret. Les gens impliqué peuvent être des policiers, des juges, des journalistes, des députés etc.. où chacun doit suivre les directives de ceux avec qui ils ont fait allégeance, faute de quoi, leurs amis bien placées peuvent camoufler bien des pistes si des événements fâcheux pourrait leur survenir.
Tels fut le cas de Brice Taylor et de Cathy O’brien. Pour ces femmes victimes de ces atrocités, leur sort est d’être des esclaves sexuels pour beaucoup d’hommes d’états. Ce business est bien en place, et plus que vous ne l’imaginez. Les familles incestueuses sont protégées par des hauts placés du gouvernement, puisqu’elles produisent les esclaves sexuels nécessaires pour contrôler les députés, gouverneur ou président ciblés en menaçant de dévoiler les preuves accablantes de leurs transgressions morales. Les familles d’accueil peuvent bien jouer le même rôle étant directement sous tutelle du gouvernement. Le sort pour les femmes est principalement de devenir esclaves sexuels.
Pour ce qui est des hommes, leur sort en est un de tueur à froid. L’oeuvre Un crime dans la tête est une introduction idéale en la matière. La première adaptation en film fut même interdite de diffusion un an après l’assassinat de JFK, afin que le concept soit étouffé. Demandez a Sirhan Sirhan les raison et les méthodes qu’il l’ont poussé à tuer Robert Kennedy. Vous y trouverez bien des signes d’un tueur sous influence d’un contrôle mental. Les méthodes d’endoctrinement sont multiple : drogues hallucinogènes, choc électriques, privation de sommeil, hypnose et j’en passe; toutes des méthodes qui ont été utilisé a Guatanamo Bay, par exemple, afin de créer des tueurs sanguinaire pour Al-Quaeda, maintenant sous l’emprise des États-Unis.
Tel aurait été donc ma version du tueur a gage dans Divina Insidia. Un homme pour qui seulement 2 mots bien précis peuvent lui faire changer de personnalité et lui faire faire tout ce que l’on veut, même tuer.
La gloire du Seigneur
Je vous avouerai que le livre prend tu temps avant que l’intrigue vous accroche de façon poignante. Pascal voulait tout de même nous cultiver avec quelques vérités dures à avaler. Il vaut chandelle d’attendre jusqu’à la fin, puisqu’on y retrouve une tournure d’événements digne de la Création de Dieu, soit l’homme et son immortalité. Même les athées ont de quoi à se mettre sous la dent comme réflexions. Qui d’autres pourrais déjouer les plans de Lucifer, sinon les hommes qui croient en Dieu?
Vous pouvez vous procurer le livre ici.